La France a de nombreux arguments à faire valoir dans le domaine de la conception de robots. A condition de réussir à financer la croissance de ses pépites : Aldebaran et Gostai, deux fleurons, seraient déjà passés sous pavillon étranger. La voix est métallique, étrangement douce. « Bonjour ! » Chez Aldebaran, c’est NAO le robot qui officie à l’accueil. Les 180 experts en logique, mécanique, électronique ou informatique qui passent devant le petit humanoïde de 56 centimètres ont pris l’habitude de le saluer comme un banal collègue.
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